La première liberté du premier trait, la langue sortie pour plus d’application
laisser faire la traversée des matières, des objets
le sourire et ce qu’il reste du sourire
finalement je ne fais pas grand-chose
l’âme c’est l’animal ou l’esprit critique face à la situation
la courbure sans intention de la donner
se poser sans attendre
entre temps avoir la berlue
parti pris n’est plus à prendre
appréhender sans peur
la sensation, les retrouvailles et le rassemblement
la traversée c’est la mue, le présent de derrière les fagots, c’est l’humus
le dedans, c’est l’autre sans la manière, c’est l’autre sans la bannière
Garder la vigilance du sensible Laisser les sens guider le mouvement, tisser des liens avec l'invisible, la matière, la plante, l'animal, l'humain, l'enfant .... et ne plus savoir
laisser faire la traversée des matières, des objets
être juste accueillie par ces matières et ces objets
le sourire et ce qu’il reste du sourire
finalement je ne fais pas grand-chose
l’âme c’est l’animal ou l’esprit critique face à la situation
la courbure sans intention de la donner
se poser sans attendre
entre temps avoir la berlue
parti pris n’est plus à prendre
appréhender sans peur
la sensation, les retrouvailles et le rassemblement
la traversée c’est la mue, le présent de derrière les fagots, c’est l’humus
le dedans, c’est l’autre sans la manière, c’est l’autre sans la bannière
Un hommage au sol, aux seuls du sol, au soleil d’en bas
La structure, une coupe transversale, l’objet qui reste après l’assemblage et le rassemblement des trouvailles
La structure, une coupe transversale, l’objet qui reste après l’assemblage et le rassemblement des trouvailles
Garder la vigilance du sensible Laisser les sens guider le mouvement, tisser des liens avec l'invisible, la matière, la plante, l'animal, l'humain, l'enfant .... et ne plus savoir
Et prendre ce risque de les rendre visibles et toujours s'insurger
Je suis née à Toulon,
je vie et travaille à Gaillac.
je vie et travaille à Gaillac.
